Nation

Boughali met en garde…

Il affirme que les dangers visant la jeunesse ne doivent pas être traités comme une question secondaire.

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Le président de l’Assemblée populaire nationale, Ibrahim Boughali, a mis en garde, ce lundi, contre les dangers qui visent la jeunesse, notamment le fléau des drogues et des substances hallucinogènes, ainsi que les campagnes de désinformation qui poussent certains jeunes vers l’immigration clandestine.

Lors de l’ouverture de la session parlementaire ordinaire 2025/2026, en présence du président du Conseil de la Nation, du Premier ministre et des membres du gouvernement, de la présidente de la Cour constitutionnelle et des responsables des hautes instances de l’État, Boughali a adressé ses félicitations au Premier ministre Sifi Ghrieb, saluant la confiance que lui a accordée le président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Il a insisté sur le fait que « ce phénomène ne doit pas être traité comme une question secondaire », mais plutôt comme « un combat national fédérateur qui exige l’union de l’État et de la société civile afin de protéger la jeunesse et de préserver l’avenir du pays ».

Dans le contexte de la nouvelle rentrée sociale, Boughali a souligné que l’école et l’université demeurent des piliers essentiels pour bâtir l’avenir de l’Algérie. Il a salué les efforts des pouvoirs publics visant à améliorer les conditions de scolarisation, à développer la recherche scientifique et à rapprocher l’université du marché du travail et de l’esprit entrepreneurial, estimant qu’il s’agit là d’« une véritable traduction d’une vision stratégique qui croit au rôle des institutions éducatives dans la formation des générations futures ».

Il a également considéré que l’ouverture de la session parlementaire ordinaire coïncide avec des étapes marquantes dans le parcours de l’Algérie, notamment le succès de l’organisation de la 4ᵉ édition du Salon du commerce intra-africain, qu’il a qualifié d’événement stratégique ayant renforcé l’image de l’Algérie comme acteur central sur le continent.

Boughali a affirmé qu’à travers cet événement, « l’Algérie a adressé un message fort selon lequel l’Afrique est capable de se relever et de prendre sa place dans l’économie mondiale ».