Dans une escalade dangereuse qui pourrait entraîner la région dans une confrontation généralisée, l’occupation sioniste a lancé à l’aube de ce vendredi de vastes frappes aériennes visant des installations militaires et nucléaires sensibles en Iran. Ces frappes ont provoqué une série d’explosions ayant secoué la capitale Téhéran et fait des victimes civiles, parmi lesquelles des femmes et des enfants — un précédent qui illustre l’ampleur de l’agression sioniste.
Israel attacked Tehran city Iran.
— Armaan🇵🇰🇵🇸 (@Armaanali97) June 13, 2025
No doubt Israel is a terrorist organisation which is very dangerous for this World.#Iran
pic.twitter.com/AxSplMj18F
L’agence de presse officielle iranienne IRNA a rapporté que les frappes sionistes ont touché des immeubles résidentiels à Téhéran, causant la mort de plusieurs civils, dont des enfants. L’agence a confirmé que « plusieurs personnes, dont des femmes et des enfants, ont été tuées dans un complexe résidentiel à Téhéran », précisant que plusieurs immeubles ont été visés.
Dans un coup dur porté au personnel scientifique iranien, la télévision officielle a annoncé la mort de deux éminents scientifiques nucléaires, Fereydoun Abbasi et Mohammad Mehdi Tehranchi, ce qui augmente les tensions et accroît les risques de représailles militaires de la part de l’Iran.
La chaîne sioniste Channel 12 a rapporté que les frappes ont visé des sites sensibles, y compris une tentative d’assassinat du chef d’état-major iranien, le général Mohammad Bagheri. Parallèlement, l’agence iranienne Nour News, proche du Conseil suprême de sécurité nationale, a confirmé des explosions entendues au nord-est de Téhéran, et une enquête officielle a été ouverte pour déterminer les circonstances de l’attaque.
Israel attacked Tehran city Iran.
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No doubt Israel is a terrorist organisation which is very dangerous for this World.#Iran
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L’armée sioniste a annoncé que des dizaines d’avions de chasse ont mené la première vague d’attaques, visant des installations militaires et nucléaires dans le cadre de l’opération baptisée "Lion Ascendant", décrite comme la plus vaste depuis des années. Un communiqué officiel a indiqué que l’opération a ciblé le site principal d’enrichissement de Natanz, ainsi que des installations de production de missiles balistiques et des scientifiques impliqués dans le développement de l’arme nucléaire
Le Premier ministre sioniste Benyamin Netanyahou a déclaré dans une allocution télévisée « Il y a quelques instants, nous avons lancé une opération militaire destinée à neutraliser la menace iranienne contre l’existence d’L’entité sioniste ». Il a ajouté : « Nous vivons une phase décisive dans l’histoire d’L’entité sioniste ».
Netanyahou a précisé que l’opération se poursuivra plusieurs jours, et qu’elle a visé « le cœur du programme d’enrichissement nucléaire iranien ainsi que le programme d’armement nucléaire », en plus de la « principale installation d’enrichissement à Natanz » et des « scientifiques de haut niveau travaillant à la fabrication d’une bombe iranienne ». Il a également affirmé que les frappes ont atteint « le cœur du programme balistique iranien » et que l’opération causera des dommages importants aux infrastructures nucléaires, aux capacités militaires et aux usines de missiles de l’Iran.
L’Autorité aéroportuaire sioniste a annoncé la fermeture de l’aéroport Ben Gourion aux décollages et atterrissages jusqu’à nouvel ordre, à titre de précaution face à l’escalade des menaces. Parallèlement, le chef d’état-major sioniste a ordonné la mobilisation de dizaines de milliers de réservistes, en prévision d’éventuels développements sur plusieurs fronts.
حريق بمبنى في طهران قصفته طائرات إسرائيل pic.twitter.com/steYKxz2No
— قناة الجزيرة (@AJArabic) June 13, 2025
En réaction directe, le ministère irakien des Transports a annoncé la fermeture de l’espace aérien et l’arrêt complet de la navigation aérienne afin d’assurer la sécurité de l’aviation civile. Les marchés financiers ont connu une baisse significative, notamment l’indice Nikkei au Japon, traduisant l’inquiétude des investisseurs face à l’élargissement du conflit et aux perturbations potentielles des chaînes d’approvisionnement.
La ministre australienne des Affaires étrangères a exprimé « la profonde inquiétude de son pays face à cette escalade », alors que la communauté internationale observe de près si, et comment, l’Iran répondra.
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