Des parties étrangères, au premier rang desquelles la France et ses relais marocains, tentent de déstabiliser l’Algérie par le biais d’appels relayés par de faux comptes sur les réseaux sociaux. Mais la vigilance du peuple algérien et son attachement à sa souveraineté ont déjoué toutes les tentatives d’intoxication et de manipulation.
Une fois encore, certains cercles étrangers, notamment à Paris, s’efforcent d’activer leurs pions dans la région, usant de méthodes anciennes sous de nouveaux masques, dans une tentative désespérée de semer le trouble en Algérie, de brouiller la conscience de son peuple et de creuser un fossé entre la nation et ses enfants.
Dans les coulisses de ces cercles, des scénarios sont fabriqués, des mensonges sont tissés, et des outils d’influence douce sont activés – qu’ils soient médiatiques ou numériques. Mais la majorité de ces outils sont désormais démasqués, dépourvus du moindre crédit, ressassant un discours usé qui ne suscite même plus la curiosité, encore moins l’adhésion.
Et si certaines voix, dissimulées derrière de faux profils ou des chaînes financées, tentent de vendre une "colère numérique" comme une réalité, la rue algérienne, forte de sa sagesse et de sa lucidité, fait clairement la différence entre une critique constructive et un acte de sabotage, entre une lutte sincère pour améliorer la situation et une bataille factice menée depuis des salons à l’étranger au service d’agendas non nationaux.
Il n’est plus un secret pour personne que certains centres de décision français – notamment le ministère de l’Intérieur – conservent une mentalité colonialiste archaïque, cherchant à détourner l’attention de leurs échecs internes en braquant les projecteurs sur l’Algérie. Il en va de même pour Rabat, qui a perdu son sang-froid depuis que l’Algérie a retrouvé son rôle régional et international, devenant une voix écoutée dans les forums et conférences sans avoir besoin de médiations ni de chantages.
Et si les dirigeants de Rabat ont choisi de s’aligner sur l’axe de la normalisation et de s’impliquer dans des campagnes hostiles à l’Algérie, ils ne servent en cela que des agendas non marocains. Ils ne reflètent aucunement les aspirations des peuples de la région, mais participent activement à un jeu dirigé de l’extérieur, et non des capitales maghrébines.
Patriotes et mercenaires
Aujourd’hui, dans l’Algérie nouvelle, une conscience collective émerge quant à la nature de l’étape actuelle. Entre ceux qui suivent le chemin des hommes et des femmes ayant sacrifié leur vie pour l’indépendance de l’Algérie, et ceux qui portent le flambeau pour construire un État fort et souverain, et ceux qui ont choisi d’être les porte-voix de plateformes hostiles, la différence est claire et nette.
Les sages fils et filles de l’Algérie ne se laissent pas distraire par les campagnes de diversion ou de désinformation. Ils placent l’intérêt du pays au-dessus de toute autre considération. Ils sont les enfants de ce peuple, investis de la mission de poursuivre la construction du pays avec lucidité et détermination. Ils ne parlent pas depuis l’étranger, n’écrivent pas aux ambassades, mais œuvrent en silence à l’intérieur du pays, pour l’avenir de ses enfants.
L’Algérie nouvelle ne quémande pas des positions, ni n’attend un feu vert de l’étranger pour décider de son destin. Elle a choisi d’avancer, avec confiance, vers l’achèvement du projet d’un État national moderne, affranchi de toute tutelle politique ou économique.
Aujourd’hui, les Algériens savent que leur avenir et celui de leur pays ne s’écrivent pas dans des capitales étrangères, ni sur des plateformes numériques manipulées, mais ici-même, à l’intérieur, par la volonté des héritiers des martyrs, dans les villages et les villes, dans les écoles et les usines, dans les casernes et les champs.
L’Algérie – en cette période de grandes mutations – se tient debout, unie par son peuple, son armée et ses institutions, face à toutes les tentatives de déstabilisation ou de remise en cause. Les opinions peuvent diverger, les lectures se multiplier, mais il y a un point sur lequel il n’y a pas de compromis : l’unité, la stabilité et la souveraineté de l’Algérie sont des lignes rouges.
À ceux qui croient que l’Algérie peut être prise par un "trend" ou un "hashtag", nous disons : vous recyclez un vieux disque rayé, vous lisez dans un vieux livre à une époque nouvelle. Car l’Algérie d’aujourd’hui est plus forte grâce à ses institutions, plus consciente grâce à son peuple, et plus fidèle que jamais à la mémoire de ses martyrs.
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