Belmadi partira, comme ses prédécesseurs, sans être interrogé ni évalué sur son bilan. Nous n’aurons donc pas l’occasion de comprendre les raisons de cet échec, ses causes, ou ses propositions pour éviter que cela ne se reproduise à l’avenir. Comme dit le proverbe : « Même la mort accorde un repos à celui qui la subit ». Nous aurions pu l’écouter, lui ainsi que toutes les autres parties concernées, pour bénéficier de son avis et des contre-avis sur ce nouvel échec des « Verts » à la Coupe d’Afrique des Nations. Ensuite, chacun aurait pu tourner la page. Certains affirment que les paroles de B...
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