Plusieurs pages sur les réseaux sociaux ont relayé une vidéo montrant l’arrestation du dénommé «Hicham El Wahrani », qui était apparu dans un enregistrement en train d’agresser brutalement un jeune homme, sous prétexte de vouloir le « mettre en garde » à propos de sa tenue vestimentaire, en compagnie d’un groupe de personnes.
Selon le contenu de la vidéo diffusée, des citoyens ont réussi à maîtriser le suspect, alors qu’il se trouvait en fuite et faisait l’objet de recherches par les services de sécurité.
Une source au sein de la Gendarmerie nationale a confirmé l’arrestation du mis en cause, précisant que l’opération s’est déroulée dans la ville d’El Attaf, dans la wilaya d’Aïn Defla.
Une première vidéo, largement partagée sur les réseaux sociaux, montrait une agression d’une extrême violence perpétrée contre un jeune homme à Bou Ismaïl, dans la wilaya de Tipaza.
Les images avaient provoqué un véritable choc au sein de l’opinion publique nationale, suscitant de vives réactions et appels à une enquête approfondie sur les faits et à la poursuite des auteurs.
Dans cette séquence, qui aurait été filmée dans un bidonville situé sur les hauteurs de Bou Ismaïl, selon des informations obtenues par El Khabar, on voit un jeune homme roué de coups, recevant de violents coups de poing au visage, ensanglanté, tandis que ses agresseurs tentent de le déshabiller pour attenter à son intégrité sexuelle.
On entend les cris, les supplications et la résistance de la victime pendant de longues minutes, semblant connue de ses assaillants.
Face à la violence et l’obscénité du contenu, de nombreux internautes ont conseillé de ne pas visionner la vidéo, avertissant qu’elle contenait des images choquantes et moralement inacceptables.
La diffusion du film a suscité une forte indignation, en raison de l’audace des agresseurs, manifestement indifférents à la possibilité que leurs actes soient rendus publics.
Le spectateur, en suivant le déroulement des faits, est saisi d’un mélange de peur et de stupeur devant le niveau de barbarie affiché par ces jeunes, vivant dans un quartier précaire de Bou Ismaïl, qui semblent s’être livrés à la criminalité et à la terreur des habitants.
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