L’occupation sioniste a publié un communiqué qualifiant «la Flottille de la Résilience » de « convoi organisé par le Hamas, destiné à servir ses intérêts ». Elle a affirmé n’avoir autorisé l’entrée d’aucun navire dans ce qu’elle considère comme une « zone de combat active » et déclaré qu’elle ne permettra pas de briser le blocus maritime.
Le communiqué précise toutefois que « si l’objectif réel des participants à la flottille est d’acheminer une aide humanitaire, et non de servir le Hamas, Israël les invite à accoster au port d’Ashkelon et à y décharger l’aide, qui sera immédiatement transférée de manière coordonnée vers la bande de Gaza».
L’occupation a appelé les participants à ne pas enfreindre la loi et à accepter sa proposition de transfert pacifique de l’aide. Cette position marque un recul par rapport aux menaces précédentes de recourir à la force contre les navires de la flottille.
Le communiqué reflète également une certaine confusion sur la manière de gérer la flottille, notamment en raison du nombre croissant de nationalités représentées parmi les participants (44 pays), dont plusieurs ont déjà averti Israël des conséquences d’une atteinte aux navires du convoi.
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