Bébés décapités le 7 octobre.. la supercherie mise a nu

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Le mensonge sioniste concernant la découverte d'enfants décapités par des combattants de la résistance palestinienne lors de la bataille du "déluge d'Al-Aqsa" s'effondre et se désintègre, car des enquêtes journalistiques approfondies ont prouvé qu'il ne s'agissait que de rumeurs visant à justifier la guerre génocidaire sioniste contre Gaza et à ternir la résistance palestinienne.

Les choses ont changé, et l'entité sioniste se retrouve accusée de tromperie et de manipulation médiatique.

Cette histoire et ses détails ont connu une propagation sans précédent, au point que les capitales occidentales alliées de l'entité en parlent encore dans les instances internationales, notamment le Conseil de sécurité des Nations unies, afin de justifier la qualification du Hamas d’organisation « terroristes »

Le journal français « Le Monde » a déclaré avoir mené une enquête pour mettre en lumière une rumeur qui est apparue de manière organique, d'un mélange d'émotions, de confusion et d'exagération horrifiante, alors que les autorités d'occupation ont tenté de l'exploiter, entraînant des accusations de manipulation des médias.

Le journal a basé son enquête sur ce que son correspondant à Jérusalem, Samuel Foury, a rapporté, lui qui a participé à la visite organisée par l'armée d'occupation pour des dizaines de journalistes et de correspondants étrangers au kibboutz Kfar Azza, où 60 personnes ont été tuées, confirmant qu'il n'a vu aucun corps d'enfants, et qu'aucune source sioniste, que ce soit de l'armée ou des organisations humanitaires, n'a mentionné ce récit.

Le journal a souligné que des membres d'une organisation juive extrémiste et un médecin francophone nommé Michael Levy étaient derrière la propagation de la rumeur, tentant d'exploiter la "tragédie" pour attirer des dons.

Malgré le démenti du bureau de presse du gouvernement d'occupation concernant cette rumeur, elle s'est répandue comme une traînée de poudre, et plus tard, le gouvernement sioniste, le porte-parole de l'armée d'occupation, et les médias hébreux et occidentaux l'ont largement utilisée pour attiser les sentiments des communautés sionistes et occidentales et justifier la guerre brutale contre Gaza, malgré l'absence de preuves confirmant la validité de ces rumeurs.

Le journal a affirmé que la vérité a commencé à émerger alors que des journalistes occidentaux et des personnalités influentes favorables à la cause palestinienne ont commencé à mettre en lumière la rumeur et à confirmer le manque de preuves de sa validité, exposant ainsi la propagande sioniste et la manipulation médiatique accompagnant la rumeur.

Malgré l'émergence de faits réfutant cette rumeur, Le Monde a confirmé qu'elle circule toujours au sein de l'entité comme si elle était vraie, et la remettre en question signifie, pour une partie importante des sionistes, remettre en question les attaques du 7 octobre.

D'autre part, le Hamas a appelé les pays, les gouvernements et les institutions ayant adopté cette fausse narrative sioniste à retirer leurs positions, déclarant dans un communiqué : "L'enquête de Le Monde sur la propagande sioniste fausse accompagnant les événements du 7 octobre est une nouvelle étape pour exposer le comportement fasciste du gouvernement d'occupation."

Il a ajouté que l'occupation "s'est appuyée sur l'exploitation de ces récits et leur diffusion pour inciter contre notre peuple palestinien et justifier les massacres, atrocités et guerre génocidaire qu'elle mène contre des civils innocents à Gaza."

Le Hamas a appelé les pays, les gouvernements et les institutions ayant adopté la fausse narrative sioniste à "retirer immédiatement leurs positions contre notre peuple et sa résistance", exhortant également les médias impliqués à "présenter des excuses pour leur contribution à ternir la lutte de notre peuple palestinien et à intensifier les efforts pour diffuser et documenter les crimes commis contre le peuple palestinien, notamment à Gaza, de la guerre par la faim, des massacres et de l'extermination systématique par l'armée d'occupation."